vendredi 14 juin 2013
samedi 1 juin 2013
Lima du coté des Pueblo Joven
A la différence
du centre ville peu de touristes viennent passer du temps par ici. Les
quartiers "Joven", jeune le terme est plus adéquat que bidonville,
sont présent au Nord et a l'Est de Lima, ils se sont agrandie au fur est a
mesure des vagues d'exodes rurales (fuite des actes terroriste du Sentier
lumineux, recherche d'un meilleur travail, arrivé pour des études,...). Environ
50 % de la population de Lima vit dans ce type de quartier, au fil des années, ils
se sont développés, l'eau courante, l'électricité sont arrivés, des écoles ont
été crée… bref cela évolue a petit pas.
Même si les
conditions de vie sont difficiles de nombreuses personnes gardent leur joie de
vivre et l'espoir. Afin de compléter cet article, voici le témoignage d'Emilia réalisé par
Simon Gouin (journaliste):
"Les mots d’Emilia sont précieux. Car ils sont rares. Et parce qu’ils
racontent une vie liménienne ordinaire, entre pauvreté et espoir d’un
jour meilleur. Emilia, la quarantaine, un sourire édenté, est gardienne
de nuit de l’association péruvienne."
Voila également
de photos de la Ensenada, quartier Joven où agit Mano a Mano depuis 20 ans.
La Ensenada, pas toujours facile de construire sur une colline de sable et de pierre
Les toits sont réalisés avec les moyens du bords, tôle, carton, bois usagé
Entrée du quartier, la route goudronnée s'arrête là.
Les locaux de Mano a Mano a la Ensenada
Dragon réalisé par les "Atelier Volant" pour le parc de jeux
Où se trouve les différents services (pharmacie, ludothèque, terrain de jeux,...)?
Un petit Lu Nantais, je ne sais pas comment le paquet est arrivé ici mais il fut bien appréciable.
Et la vente en tricycle continu... afin de faire un peu de vélo et de vendre les pâtisseries au profit de l'asso.
Lima, coté tourisme
Voila quelques
photos de Lima de la façon que de nombreux touristes découvrent la ville, on ne
remarque pas vraiment les quartiers pauvres, mais plutôt les nombreux policiers
qui veillent au pressentiment de sécurité des étrangers. Miraflores ressemble à
tout bord de mer (bétonné) de la Cote d'Azur, immeubles, plages et autoroutes a
proximité. Le centre ville historique est rongé par des ministères dignes de
l'architecture stalinienne.
Bref cela n'a
rien a voir avec la vie des 10 millions d'habitants de Lima et sa banlieue, où
se mêle embouteillage, pollution, recherche de travail et petit boulot...
Les balcons coloniaux
Palais présidentiel
Forte présence policière sur la Plaza de Armas
Bord de mer a Miraflores
Vue sur l'océan Pacifique
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